Retrouvailles nocturnes

Le château de Silvermarth, un endroit illustre, digne des plus grandes tragédies, d’ailleurs il semblait être l’invention d’un brillant dramaturge par ses pièces insolites, ses recoins douteux et ses jardins merveilleux, néanmoins il reste réel, par la population démentielle qui s’agite à ses pieds, tel des fourmis, elle parle, construit, nettoie, stocke et marchande, surtout en ces jours ou se prépare le couronnement futur du Roi, un événement mondiale, qui créait un flux migratoire historique, cela veut aussi dire que la sécurité de l’endroit est irréprochable. Des gardes semblent se fondre dans le paysage, et d’ailleurs quelqu’un de pas très futé pourrait les confondre avec le décors, non pas que celui-ci s’alliait merveilleusement bien avec les armures particulièrement étincelantes, mais qu’ils étaient si nombreux qu’à chaque tournant les plaques de métal surgissaient, recouvrant fièrement la Garde de Silvermarth.

La journée s’écoula donc, sous le brouhaha du marché, sous l’activité permanente des Hommes, qui semblaient nargué par leurs insouciances vaniteuse, par leur bruit pompant, ce soleil tout puissant, néanmoins il commençait à se lasser de cet suractivité, et au moment venu, l’astre lumineux s’endormit, laissant sa place à une lune claire, qui n’eut pas à subit les manifestation antérieure, car tout c’était arrêter, les marchands avaient fermés boutiques, comme chez les fourmis, ils étaient tous rentré dans la fourmilière, sauf les gardes, qui continuait à surveiller le vide, à l’affût d’un mal inconnu, mais est-ce ce dernier qui sortait de l’ombre, néanmoins ça et la des silhouettes humaines courraient, trois silhouettes, qui entourées d’une cape noire se fondait dans la nuit. Les trois démons continuaient leur course, sautant de toits en toits, passant par les rares ruelles non surveillés, et même parfois sous le nez d’un garde somnolant, néanmoins ils se rapprochaient de plus en plus du château, qu’un brouillard assez dense enveloppait peu à peu.

« Nous y voilà. »

Ces trois mots sortirent doucement de la bouche d’un des spectres, alors qu’ils s’approchaient d’un balcon surélevé, que deux gardes gardaient, ne montrant apparemment aucun signe de fatigue, mais les trois êtres noirs disparurent en même temps, et deux gants de métal vinrent se placer sur la bouche des gardes, étouffant ainsi un cri, puis plus rien, le silence retomba quand deux points vinrent se placer dans le ventre des gardes.

« Très bien, cachez le corps de ces deux la et prenez leurs place, si il y a un problème faite le signal et partez, ne m’attendez pas. »

L’homme aux poings métalliques avait parlé, et grimpant habilement sur la paroi du château il parvint au balcon, dont la fenêtre était étrangement ouverte, comme si on l’attendait, et un bruit le fit sursauter, puis sourire, un sourire timide et coupable, comme celui d’un enfant qui rentre d’une longue fugue, mais la personne qu’il vit à ce moment le paralysait, après tout c’était…

« Bonsoir…. Maman. »

(hrp: Bon c'est oki pour la lettre!)

La nuit commença doucement à tomber sur le royaume de Silvermarth. La ville s'était tû, les gents étaient rentrées chez eux bien au chaud. Alors que dehors le vent soufflé sur la ville, ainsi qu'un brouillard assez dense parcourer les rues de la ville sombre et deserte.

C'est ce que voyer Meyumi de Silvermarth à travers la vitre du balcon de sa chambre. Une main sur la vitre, elle descendit son regard vers le sol pour voir que deux gardes étaient entrain de surveiller les alentours qui mennez à son balcon. Pourquoi est ce qu'ils restaient la...? Elle n'avait rien à craindre, enfin elle suposée.

Soupirant, Meyumi s'écarta de la vitre, qu'elle ouvrit un peut pour avoir un peut d'air, soit disant. Puis elle alla devant un meuble et ouvrit un tiroir pour en sortir un bout de papier qui lui avait était remit le matin même.

Elle alla sassoir sur son lit, puis Meyumi se mit à relire la lettre celle-ci disait:

J'aimerai vous rencontrée, pour discuter de choses priver. Ce soir, laisser votre fenettre ouverte...

Une vieille connaissance...

Fronçant les sourcils, Meyumi ce demanda qui est ce qui pouvez bien vouloirs la voir, surtout en pleine nuit et pourquoi...? Elle avoue être un peut inquiète à l'identité de cette personne. Que lui voulez t-elle...? Et comment compter venir venir la voir cette personne...? Des gardes étaient dans tout les recoins de la ville et du chateau.

Soupirant, elle ne rend pas compte de ce qu'il ce passer à l'extérieur. Fermant les yeux, Meyumi ne vit pas, n'y n'entendit que les gardes étaient mit hors d'états de nuire. N'y qu'un homme était entrain de monter sur son balcon.

Soudain, alors qu'elle ce releva du lit, elle fit tomber un livre qu'elle remit à sa place sur la table de chevet. Puis une voie s'éleva dans les airs:

« Bonsoir…. Maman. »

Meyumi sursauta, puis elle se retourna comme un éclair en direction du balcon pour voir un magnifique jeune homme. Le reconnaissant, elle fit un immense sourire, puis les yeux brillant, elle s'avança, tout en disant doucement et d'une voie douce:

- Leynard....mon chère fils...que je suis heureuse de te revoir....

Elle le prit dans ses bras et le serra fort contre elle. Puis le lachant doucement au bout de quelques minutes, elle dit:

- Dit moi...est ce toi qui ma envoyer ceci...?

Meyumi montra la lettre qu'elle tenez en main. Elle ce demanda aussi ce que son fils était devenu, elle avait tout pleins de questions...

Ces retrouvailles, Leynard éprouva d'abord un profond malaise, puis tout cessa, comme si la simple étreinte maternelle balayait tous les autres sentiments, d'ailleurs les mais de l'homme vinrent d'elle même se lover autour de Meyumi lors d'une étreinte plutôt longue. Elle lui montra alors une lettre, étrange...elle ne ressemblait pas du tout à la sienne. Leynard eut alors un flash, et il alla précipitemment vers le balcon, pour y arracher une fléchette, entourrée d'une lettre, de sa lettre! Quelqu'un d'autre devait venir...mais qui? En ces temps si proche du courronement le danger pouvait venir de n'importe où, mais il ne voulait pas inquiéter sa mère, et cachant la fléchette dans sa cape noire, il ferma le balcon et revint vers sa génitrice.

"Oui c'est bien moi... je voulais te voir, ça fait si longtemps."

Ils se mirent alors à évoqué le passé, Leynard parlait peu de ses aventures, il ne cessait de demander des nouvelles du chateau, ou de parler des préparatifs du courronement, comme s'il avait peur d'évoquer son exil, ce sujet était tabou, il ne voulait pas en parler, et Meyumi devait bien comprendre pourquoi. Au bout d'une série de questions réponses, qui permirent à Meyumi de se faire une idée plus ou moins précise de l'état de son fils, il y eu un petit silence, puis Leynard posa la question...

"Sinon, tu n'aurais pas un truc à manger? Je meurs de faim!"

Et sur ce il sauta sur le fauteuil, tout content, persuadé que sa mère allait lui préparer un bon petit plat, comme avant...cela faisait longtemps qu'il n'avait mangé la cuisine royale, en fait tout ça lui manquait terriblement, les courses de chevaux, les duels d'escrimes, ou encore les bonnes vielles bagarres entre frère. Il était assis la, mais son esprit était au passé, passant en boucle les meilleurs instants de sa jeunesse, avec une certaine mélancolie.

Alors que Meyumi montra sa lettre qu'elle avait reçut le matin même, après l'étreinte qu'elle eu donner à son fil qu'elle aime. Ce dernier ce précipita vers la fenêtre pour faire elle ne savait quoi. Fronçant les sourcils, elle regarda Leynard d'un air curieux, puis il revint vers Meyumi après avoir fermer la fenêtre. Souriante elle répondit:

-Oui, en effet, cela fait très longtemps que l'on ne sais pas vue...il s'est passer telement de chose depuis que tu es partit..

Meyumi écouta son fils avec plaisir, puis au fure et à mesure, elle répondit avec entousiaste aux questions que Leynard lui poser, puis, ce fut a elle de lui donner de ses nouvelles. De ce qui ce passe au chateau, elle lui parla elle même de Roy, Meyumi parla aussi de sa rencontre avec un homme qu'elle avait faite dans les jardins du chateau sa rencontre avec Cuthalion. Meyumi avoue qu'elle avait bien aimer parler avec lui, ils avaient évoquer des sujets interressant.

Meyumi ce perdit dans ses pensée, tout en s'arrêtant de parler. Pendant cette discution elle avait dit que son mari était mort assassiné. Puis, Meyumi avait évitée de son mieux le sujet, en parlant d'autre chose.

Cependant, elle est inquiète, que ce passerait-il si Cuthalion ou quelqu'un d'autre, découvrez la véritable mort de son mari...? Cela elle ne le savez pas et elle n'osée l'avouée à haute voie, elle avait peur.

Frissonnante, elle secoua la tête pour se reprendre et ne pas inquièter son fils durant ce cours moment. Regardant son fils sauter sur le fauteuil de la chambre, Meyumi sourit doucement tout en lui répondant.

- Quelque chose à manger...? Bien sur il y a toujours un truc a manger...Veut tu que j'aille à la cuisine préparé quelque chose et le remonter...?ou est ce que tu veut qu'ont y déscendent ensemble...?

Meyumi ce tu soudain un instant avant de reprendre avec un petit rire, ne remarquant pas que Leynard penser au passé.

-Suis-je bête, tu ne peut pas sortir d'ici...enfin, sauf si tu veut prendre le risque qu'ont te découvre....^^

» Retrouvailles (merveilleuses ?)